NOUVEAU SACRE POUR KENNOL EN 24H PIT BIKE
Après le record mondial de 2016, en remportant pour la première fois une course de 24h en Pit Bike (mini-moto), KENNOL et le team Fast Track restent sur leur lancée. 2017 a vu l’équipage prendre une belle seconde place, mais ce mois-ci, c’est de nouveau le sacre, en se payant le luxe de terminer, de surcroît, devant des teams d’usine !
▌ L’INCROYABLE PERFORMANCE
Le bilan en 3 participations est plus qu’élogieux : victoire et 1ère mondiale en 2016, 2ème place sur le podium en 2017, et victoire en 2018. Le team Fast Track est pourtant une structure amateure, mais qui a le bon goût de prioriser les ressources et les efforts. Car ce type de compétition se gagne de la même façon que les 24h du Mans : pugnacité et endurance.
C’est ainsi que l’essentiel des essais libres a été consacré aux réglages de la machine. Malheureusement, les problèmes se sont accumulés : changement de l’amortisseur arrière, chute et blessure d’un des pilotes, bug de chronométrage… Tant et si bien que la machine se retrouve au 26ème rang sur la grille de départ, alors que sa véritable performance l’aurait placée bien plus haut, puisque le plus rapide des pilotes, Clément PATIN, améliore de plus d’une seconde le temps de l’année dernière…
▌ LE PIED DE NEZ
Malgré un départ canon (plus de 14 places gagnées au premier relai), les problèmes continuent de ternir la performance de l’équipe : blessure toujours présente, explosion d’un étrier de frein arrière, défaut des plaquettes de frein avant, fuite « accidentelle » du circuit de liquide de frein… Tant et si bien que la vidange passe à la trappe…! C’est donc avec le même plein de KENNOL GRAND PRIX 10W50 4T que le team enchaîne les tours pour remonter un à un ses concurrents directs.
Le moteur s’est magnifiquement comporté durant toute la course, et c’est en première position que la moto franchit la ligne d’arrivée.
Devant un team d’usine qui plus est, ce qui ajoute encore un peu plus à la nouvelle performance de Fast Track et KENNOL.